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  • Marre des spams téléphoniques ?

    Plusieurs fois par jour, vous recevez des appels et des SMS indésirables. Vous êtes victimes de spams ou de démarchages téléphoniques. Mais comment faire pour les bloquer ? Heureusement, il existe plusieurs méthodes pour les éviter et protéger votre tranquillité. Voici un tour d’horizon des principaux opérateurs français proposant des filtres anti-spam (appels et/ou SMS) pour vous protéger des démarchages et fraudes téléphoniques. Orange Application “Orange Téléphone” (iOS/Android) : identifie et bloque les numéros signalés par la communauté (surtaxés, prospection, escroquerie). Option “Anti-spam Appels” via l’app “Orange et moi” : activez l’alerte sur votre mobile pour qu’il marque automatiquement les appels malveillants. SFR Service “SFR Anti-Spam” inclus pour tous les clients mobile : filtre les appels de prospection commerciale et surtaxée. Possibilité de bloquer explicitement les numéros indésirables depuis l’espace abonné ou l’application “SFR & Moi”. Free Mobile Filtre “Appels indésirables” gratuit via l’application “Free Mobile” : bloque automatiquement les appels anonymes et surtaxés. Option SMS : transfert des spams vers le 33700 pour signalement (gratuit). Bouygues Telecom Fonction “Filtre Appels indésirables” (option gratuite) : met en quarantaine appels anonymes, surtaxés ou prospection. Paramétrage depuis l’espace client ou l’application “Espace Client Bouygues Telecom”. La Poste Mobile / NRJ Mobile Service de blocage des numéros surtaxés et anonymes. Activation via l’espace client web ou app. En complément, vous pouvez recourir à des applis tierces (TrueCaller, Hiya), mais les solutions natives des opérateurs sont souvent plus simples à mettre en place et 100 % gratuites.

  • En cas d'arnaque bancaire, les banques doivent rembourser immédiatement les victimes

    Dans un récent arrêt, la Cour de cassation a jugé que, en cas d'arnaque bancaire, les banques devaient rembourser systématiquement leurs clients, à moins de fournir des preuves qu'elles avaient fait ce qu'il fallait pour les protéger. Les arnaques et les fraudes en ligne sont devenues monnaie courante, et malheureusement beaucoup de personnes tombent dans le piège. Certaines victimes ont la mauvaise surprise de se réveiller un matin et de découvrir, à leur grande stupeur, que des sommes conséquentes se sont envolées mystérieusement de leur compte bancaire. Elles se tournent alors vers leur banque, en quête de réponses et, surtout, pour contester ces virements.   En théorie, la loi est de leur côté puisque, lorsqu'un client conteste une transaction suspecte, les établissements bancaires sont tenus de le rembourser dans les vingt-quatre heures. Mais, en réalité, nombre d'entre eux refusent, accusant les victimes de négligence et estimant qu'elles ont elles-mêmes participé à l'arnaque. En janvier dernier, une décision de la Cour de cassation allait justement en ce sens, celle-ci estimant que plusieurs clients avaient été coupables de "négligence grave". Toutefois, elle vient d'affirmer, dans une autre affaire, que l'établissement bancaire avait l'obligation de rembourser la somme volée. Une décision qui vient faire jurisprudence... Fraude à la carte bancaire : une décision en faveur des victim es Le 30 avril dernier, la Cour de cassation a rendu un avis favorable aux victimes dans une affaire d'arnaque bancaire. En novembre 2020, une entreprise cliente du Crédit Agricole du Finistère a vu son ordinateur être infecté par un virus espion après avoir malheureusement cliqué sur un lien contenu dans un mail frauduleux. Une erreur qui a abouti à sept virements débités sur son compte bancaire, entre le 27 novembre et le 3 décembre, soit un laps de temps très réduit. Les juges de la cour d'appel avaient estimé que le client avait commis une "négligence grave" en cliquant sur le lien, ce qui exonérait la banque de toute responsabilité. Mais la Cour de cassation a cassé cette décision, jugeant que, avant même d'invoquer la fameuse "négligence grave" du client, les établissements bancaires devaient absolument démontrer qu'ils avaient fait ce qu'il fallait en matière de surveillance et de contrôle pour protéger les comptes de la victime. Or, elle s'est ici étonnée du manque de vigilance de la banque, qui aurait dû être alertée et déceler une activité anormale. En clair, ce n'est que si le juge estime, grâce à des preuves matérielles, que l'établissement n'a rien à se reprocher que la négligence du client pourra être invoquée et examinée. Il n'est donc plus possible de rejeter directement la responsabilité de l'arnaque sur les victimes. Une décision rassurante au vu du contexte actuel, alors que les tentatives de fraudes bancaires, comme l'arnaque du faux conseiller, se multiplient et deviennent de plus en plus sophistiquées.

  • Comment bien protéger ses données personnelles sur internet ?

    À l’ère du numérique, nos données personnelles sont partout : sur nos smartphones, ordinateurs, réseaux sociaux, et dans le cloud. Protéger ces informations est devenu essentiel pour préserver notre vie privée et éviter les risques de piratage, d’usurpation d’identité ou de vol de données. Voici quelques conseils pratiques pour bien sécuriser vos données numériques. Utilisez des mots de passe forts et uniques Un mot de passe robuste est la première ligne de défense contre les intrusions. Évitez les mots de passe simples ou évidents comme « 123456 » ou « password ». Privilégiez des combinaisons de lettres majuscules et minuscules, chiffres et caractères spéciaux. Utilisez un mot de passe différent pour chaque compte afin qu’une faille sur un service ne compromette pas tous vos accès. Activez l’authentification à deux facteurs (2FA) L’authentification à deux facteurs ajoute une couche supplémentaire de sécurité. En plus du mot de passe, elle demande une preuve d’identité supplémentaire, souvent un code envoyé par SMS ou généré par une application. Cela rend beaucoup plus difficile l’accès non autorisé à vos comptes. Mettez régulièrement à jour vos logiciels Les mises à jour corrigent généralement des failles de sécurité découvertes dans les systèmes d’exploitation, les applications ou les antivirus. Ignorer ces mises à jour peut laisser vos appareils vulnérables aux attaques. Activez les mises à jour automatiques quand c’est possible. Sauvegardez vos données En cas de perte, de vol ou d’attaque par ransomware, disposer d’une sauvegarde récente de vos données est crucial. Utilisez des solutions de sauvegarde locales (disques durs externes) et/ou dans le cloud pour garantir la sécurité et la disponibilité de vos informations. Soyez vigilant face aux emails et liens suspects Le phishing est une technique courante pour récupérer vos données personnelles. Ne cliquez jamais sur des liens ou pièces jointes dans des emails ou messages inattendus, même s’ils semblent provenir d’une source fiable. Vérifiez toujours l’adresse de l’expéditeur et méfiez-vous des demandes urgentes ou inhabituelles. Limitez les informations partagées en ligne Réfléchissez avant de partager des informations sensibles sur les réseaux sociaux ou autres plateformes. Plus vous diffusez d’informations personnelles, plus vous augmentez le risque d’exploitation par des tiers malveillants. Utilisez un antivirus et un pare-feu Un bon antivirus détecte et bloque les logiciels malveillants avant qu’ils n’infectent votre système. Le pare-feu contrôle les connexions entrantes et sortantes, empêchant les accès non autorisés. En suivant ces bonnes pratiques, vous renforcez significativement la protection de vos données numériques. La sécurité informatique est un enjeu quotidien qui demande vigilance et habitudes adaptées. Protéger vos informations personnelles, c’est aussi protéger votre vie privée et votre identité.

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